André Vallini, député PS, est aussi président du conseil général de l’Isère, spécialiste des questions de justice au Parti socialiste. Il fait dans « Libération »une analyse critique des projets Dati. A l’occasion de l’examen hier, à l’Assemblée nationale, du projet de loi qui institue un «contrôleur général des lieux de privation de liberté», cet ancien président de la commission d’enquête sur l’affaire d’Outreau réagit aux nombreuses réformes en cours.
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