Il a été reproché à Guy Chambefort de n’avoir à son compteur qu’un petit nombre de questions écrites posées par la voie parlementaire!
En fait, Guy Chambefort pose bien des questions, quand cela est nécessaire au dossier, qui lui a été soumis ou dont il s’est saisi, et pour franchir une étape.
Oui, il sait écrire aux ministres du gouvernement... par la voie directe et sans déclencher de coup de clairon «audible» par un large voisinage !!!
Cliquez pour consulter deux exemples récents:
Il s’agit bien sûr de réponses, ce qui valide bien l’envoi des questions!
- Une réponse, en date du 24 avril 2009, de Christine Lagarde, ministre l’Economie sur la situation de l’entreprise JPM.
- Une réponse, en date du 27 avril 2009, de Jean-Louis Borloo, ministre d’Etat, sur les nouvelles modalités de financement des raccordements aux réseaux électriques de distribution (demande du SIEGA).
Pourquoi utilise-t-il la voie directe ?... C’est simple, c’est un problème de délai et donc d’efficacité... En général le délai pour une réponse par la voie parlementaire est de 3 à 4 mois et celui par la voie directe de l’ordre de 15 jours à un mois !!!
Pourquoi pas de coup de clairon ?... C’est d’ordre général, cela, le plus souvent n’apporte rien à la qualité du traitement du dossier... Mais la voie directe n’est comptabilisée dans aucune statistique!
Moralité: Peut-on empêcher le septique de s’interroger sur les motivations qui guident les deux démarches et de rechercher où se trouve la modernité ?
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