L'argument, développé par le journal, était simple : Nicolas Sarkozy n'a aucune espèce de frontière morale ou idéologique pourvu qu'il se maintienne au pouvoir.
Mais le voyou n'est pas seul.
- Il y a ceux qui font où on leur dit de faire.
- Il y a ceux qui sont troublés, mais ne disent mot.
- Il y a ceux qui œuvrent en coulisses.
Le stratagème sécuritaire de Nicolas Sarkozy se dévoile un peu plus chaque jour.
Les voyous sont une poignée à le suivre aveuglément.
Ils ne sont même pas dans la confidence du chef. Brice Hortefeux ne savait pas, la veille du discours de Grenoble, que Sarkozy allait parler de déchéance de la nationalité.
Nadine Morano, Christian Estrosi et Frédéric Lefebvre sont les aboyeurs de circonstance.
Ils suivent, ils vont où on leur dit d'aller. Ils n'ont jamais d'états d'âme, ou en tout cas, ne les laissent jamais transparaître…
A lire dans son intégralité et son contexte (marianne2.fr)
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