C’est sans compter sur la situation particulière du mois de juillet qui voit pour des raisons évidentes les inscriptions être différées à la rentrée de septembre.
C’est oublier que des chômeurs sans activité ne sont plus dénombrés parce que des remplacements de courtes durées deviennent possible à ce moment de l’année.
Il suffit pour s’en convaincre de constater que si le nombre d'inscrits au chômage sans activité a baissé en juillet en France métropolitaine (- 14 400 en un mois) à 2,67 millions, en revanche, en incluant les personnes ayant une activité réduite, le chômage a augmenté (+ 5 300) à 3,96 millions.
Mais tout cela ne va pas empêcher les cocoricos d’un gouvernement qui, impuissant dans presque tous les compartiments du jeu, n’a plus grand-chose à dire aux Français.
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