Trois cambriolages ont visé en quelques jours des journalistes travaillant sur l'affaire Woerth-Bettencourt.
Malgré le caractère plus que sensible de ces vols, les ministres restent silencieux et les services de police indiquent traiter ces affaires de manière séparée, "comme n'importe lesquelles".
Quant à madame Alliot-Marie, elle a fait mine de l'apprendre au micro de France inter.
Le Parti socialiste s'étonne de cette inertie alors qu'on a vu le pouvoir plus prompt à réagir sur d'autres éléments de la même affaire.
Toute la lumière doit être faite sur ses cambriolages, sur leurs auteurs et sur les liens entre eux.
La liberté de la presse qui passe par la protection des sources des journalistes doit être garantie avec détermination, les auteurs de ces vols recherchés, leurs commanditaires identifiés et poursuivis.
Communiqué du parti socialiste
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