Lors de leur réunion de la mi-novembre à Brisbane en Australie, les chefs d'Etat du G20 ont confirmé leur volonté que les grandes banques mondiales prennent davantage à leur charge le coût d'une éventuelle crise future afin de réduire l'utilisation des contribuables pour sauver les banques.
Ils demandent en conséquence aux trente plus grandes banques (dont BNP Paribas, BPCE, le Crédit Agricole et la Société Générale) de détenir plus de ressources propres que le minimum défini lors du G20 de Londres d'avril 2009. Les régulateurs attendent les réactions des banques pour définir concrètement la forme que devra prendre ce "coussin de sécurité" supplémentaire. La décision sera prise en 2015 et les banques auraient jusqu'en 2019 pour se conformer à cette nouvelle exigence.
Source : alternatives économiques
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