Dimanche 8 février, Frédéric Barbier a remporté la législative partielle d’une courte tête face à Sophie Montel, candidate du Front national. L’UMP a été éliminée dès le premier tour.
Proche des citoyens, il a su rassembler. Il incarne la gauche du travail et de la justice sociale qui croit en l’avenir de cette grande région industrielle et populaire.
Le groupe SRC l’a soutenu pendant toute sa campagne. Mardi, il a retrouvé sa place dans l’hémicycle. Ému en arrivant en réunion, nous l’avons chaleureusement accueilli.
S’il nous a expliqué avoir parfois eu des moments de doutes, il a affirmé que tous les témoignages reçus ont renforcé sa détermination. Il a aussi remercié le gouvernement et ses collègues de l’Assemblée.
Cette victoire est celle des Républicains qui ont su dépasser leurs différences et faire la différence entre une formation qui fait vivre les valeurs de la République et un parti extrémiste qui propage la haine et la division.
Il est dommage que l’ambiguïté et l’irresponsabilité de certains dirigeants de l’UMP n’aient pas permis de réaliser un rassemblement encore plus large.
Frédéric Barbier a rappelé à ses administrés qu’il restera un « porte-parole fidèle et consciencieux de leurs aspirations ». Comme lors de son discours dimanche soir, il a dressé un constat : "l’éloignement à l’égard des institutions gagne du terrain "Nos concitoyens attendent beaucoup de nous" a insisté l’élu du Doubs.
Manuel Valls l’a félicité également : "Je suis heureux de vous retrouver ici, à titre personnel, et parce que sinon à votre place, c’était un député du Front national qui aurait siégé !" Le Premier Ministre rappelle ce qu’il a déjà déclaré : "Quoiqu’il arrive, ce gouvernement et la majorité, fera tout pour faire reculer le Front national et choisira la République. Quand il faudra choisir entre la République et l’extrême droite nous choisirons toujours la République" a insisté Manuel Valls.
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