En 4 ans, nous avons divisé par 3 le déficit du régime général, soit davantage encore que prévu et il n’a jamais été aussi bas depuis 2002. Ces résultats sont le fruit d’une politique déterminée de maîtrise des dépenses et d’un contexte plus vertueux, porté par la croissance des créations d’emploi. Ils sont obtenus sans déremboursement ni franchise, mais au contraire en parallèle avec la création de droits nouveaux réels et d’une baisse du reste à charge des Français.
« En 4 ans, nous avons divisé par 3 le déficit du régime général. ». (M. Touraine, 15/03/16).
Ces résultats sont le fruit d’une politique de maîtrise des dépenses et d’un contexte plus vertueux :
- D’une politique de maîtrise des dépenses de santé ;
- D’une situation économique vertueuse : il y a eu « plus d’emplois créés l’année dernière qu’on ne le pensait [induisant une hausse] des cotisations versées » (M. Sapin, 15/03/16). Ces résultats sont obtenus « sans qu’on ait diminué le niveau du remboursement aux assurés » mais, au contraire, en parallèle de la création de droits nouveaux :
- Le reste à charge des patients baisse continûment depuis le début du quinquennat (9,1 % en 2011, 8,5% en 2014). Chaque année, un Français dépense en moyenne 2 900 € pour se soigner. Après remboursement de la Sécurité sociale et des organismes complémentaires, le reste à charge est finalement de 250 € en moyenne ;
- Des droits sociaux nouveaux ont été ouverts : retraite à 60 ans pour ceux ayant commencé à travailler tôt, nouveaux droits à la retraite pour les femmes et pour les jeunes, compte pénibilité, remboursement du traitement contre l’hépatite C, gratuité de la contraception pour les mineures, suppression des franchises médicales pour les plus précaires, relèvement des plafonds de la CMU-C et de l'ACS, revalorisation jusqu’à 50% des prestations familiales destinées aux familles modestes ou monoparentales, création d’une garantie des impayés de pension alimentaire …
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