Beaucoup peuvent penser « Si ça va mieux, pourquoi ça ne va pas mieux pour moi ? ».
« Pourtant, économiquement, la croissance est repartie. L'investissement est dynamique, les déclarations d'embauche progressent, le bâtiment connaît une expansion depuis le début de l'année. Parallèlement, les déficits reculent et les prélèvements obligatoires diminuent ». Nous avions l’objectif « d'installer 300 entreprises étrangères en France par an. Nous y sommes. Nous avons connu, en 2015, par rapport à 2014, une hausse de 30 % des investissements étrangers en France. Ils ont permis la création de 30 000 emplois. L'économie française est attractive. C'était une priorité de ma politique économique, faire en sorte que, sans rien perdre de nos droits sociaux, sans rien avoir à concéder en terme de subventions, par la qualité de notre main-d’œuvre, par la force de notre innovation, par, aussi, les modes de relations sociales à l'intérieur de nos entreprises, de grands groupes étrangers viennent créer des emplois, investir et innover en France » (PR, 21/04/16).
« L’objectif n’est pas de tresser des lauriers au gouvernement, car le mérite en revient aux Français. Les résultats viendront d’autant plus vite si nous avons cette lucidité à la fois sur ce qui s'améliore et sur ce qui reste à faire ».
« Je vais réformer jusqu'au bout de mon mandat. Ce n'est pas une course contre la montre. C’est une démarche cohérente ».
« Je me méfie de ceux qui veulent tout défaire comme de ceux qui veulent ne rien faire. De ceux qui nous demandent de nous barricader comme de ceux qui veulent « casser la baraque » pour s’en sortir ».
« Nous sommes la 5e ou 6e puissance économique mondiale. […] Nous agissons pour maîtriser les excès de l'économie mondialisée. Dans la lutte contre les paradis fiscaux, c'est la France, au G20 et au G7 qui a été à l'initiative. De même, c'est la France qui intervient pour que l’Europe fixe des règles sur les grands groupes de l'économie sur Internet, et sur l'obligation de payer des impôts là où ils font leurs bénéfices. Les pays libéraux ont fini par comprendre que, s'il n'y avait plus de matière imposable, il n'y aurait plus de recettes pour leur propre budget. Je continuerai à porter ces thèmes lors des prochains sommets internationaux » (PR, 21/04/16).
Commentaires