Il n’est pas encore fermé, mais n'a-t-il pas déjà déménagé ?…
C’est assurément une victime collatérale, au moins d’une incurie d’élus locaux incapables d’inscrire une ville dans une spirale de développement et de l’idéologie de l’exécutif actuellement au pouvoir et qui se soucie davantage de recentralisation que de la qualité des services publics ou des justiciables.
La droite locale, prise en tenaille, n’a jamais demandé les comptes qui s’imposaient à la droite au pouvoir à Paris. Elle a donc été réduite aux sauts de cabris et aux simagrées pour camoufler son abandon de la priorité à accorder aux justiciables, au Tribunal de Grande Instance et au territoire moulinois.
Le choix de Rachida Dati comme bouc émissaire, si agréable à Brice Hortefeux et à ses éventuels amis, n’a pas résisté au départ de cette dernière du gouvernement.
Le courrier de Michèle Alliot-Marie à Guy Chambefort, député de la circonscription a été sans ambiguïté. Pas l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette entre les positions des deux gardes des sceaux, la nouvelle et l’ancienne !!!
Mais, la bataille n’est pas finie et il faut saluer tout ceux qui se mobilisent encore et que nous encourageons et soutenons !
L’ouverture récente d’un site internet est la preuve de cette vitalité.
Nous engageons nos lecteurs à se rendre sur ce site, en cliquant ici, pour voter « contre » la fermeture du Tribunal de Grande Instance de Moulins, et pour participer aux différents débats.
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