Souvent, on critique la police, mais si demain une partie de son activité (vidéosurveillance, infractions routières, contrôle aux frontières, expulsions…) était confiée à des entreprises privées, ce serait comment ? Difficile à imaginer, non ?
Alors qu’un récent rapport envisage la fermeture de 175 brigades de gendarmerie, Michèle Alliot-Marie souhaite « un partenariat entre acteurs privés et publics ».
La sécurité publique est un nouvel enjeu économique. C’est ce qu’il faut retenir du 1er sommet européen de la sécurité publique qui s’est tenu à la mi-décembre, et qui réunissait les 27 pays de l’U-E.
Dans son discours, la ministre de l’intérieur a parlé « d’une économie de la sécurité (…) qui représente 1.500.000 emplois en Europe » et a annoncé la création d’un « Conseil économique de la sécurité » auquel seront associées des personnalités extérieures à l’administration
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