L'ensemble du monde, au moins le monde dit "occidental" est assujetti au dieu PIB et à son prophète dérivée, la croissance.
Les religions ont paru un moment être affadies mais les peuples et leurs gouvernants, de Séoul à Paris, de Londres à Los Angeles, prient, se prosternent et font des offrandes à ce dieu capricieux qui semble se refuser à nous en ce moment (et plus globalement depuis 30 ans pour l'Europe).
Tout l'échiquier politique, pour des raisons diverses mais convergentes, se sont elles aussi converties à ce culte moderne. Culte auquel adhèrent d'un même élan syndicats, ONG, think-tanks...
Seuls quelques groupuscules alter-mondialistes et certains écologistes prônent la décroissance, mais, agissant ainsi, ils se référent encore, en creux, au PIB…
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