L’agriculture est l’un des trois piliers de notre économie, avec les services et l’industrie.
Il n’y aura pas de prospérité sans agriculture forte. Or, la libéralisation de l’économie mondiale a conduit le secteur agricole dans l’une des pires crises de son histoire.
L’Europe a cédé aux sirènes de l’ultralibéralisme, trahissant les objectifs du Traité de Rome et abandonnant la politique agricole commune à la dérégulation.
Les axes politiques de la sortie de crise relèvent d’un affrontement idéologique qu’il faut mener pour endiguer la fuite des productions de nos territoires, la paupérisation des agriculteurs et la perte d’emplois.
Le Parti socialiste a placé l’idée de relocalisation des productions au centre d’une nouvelle politique agricole...
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