Guy Chambefort a attiré l’attention de Christian Estrosi sur le sort réservé à l’entreprise Vivanco située Neuilly-le-Réal.
Il a insisté sur l’investissement du personnel dans le développement de l’entreprise et son sentiment actuel d’être traité comme une quantité négligeable.
Les salariés menacés de licenciements sont dans l’expectative concernant leur avenir et ils se demandent s’ils vont pouvoir bénéficier de mesures d’accompagnement (cellule de reclassement).
Il a noté que la direction récemment invitée à s’expliquer auprès de la Préfecture de l’Allier n’a pas jugé bon de se déplacer.
Il a demandé quelles mesures le ministre chargé de l’Economie comptait prendre pour inciter Vivanco France à s’engager dans le processus de reclassement des salariés et d’une façon plus générale pour sauvegarder les petites entreprises.
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