L’emploi, l’emploi, l’emploi. C’est la mère de toutes les batailles, la préoccupation quotidienne de chaque membre de la majorité. Tout est donc mis en oeuvre pour inverser la courbe du chômage, redonner de la vigueur à notre appareil productif et créer les emplois du futur.
Contrats de génération. 500.000 contrats de génération liant le destin professionnel d’un jeune à celui d’un sénior vont être signés dans les cinq prochaines années. A la clé, une aide annuelle de 4000 euros pendant trois ans pour chaque contrat signé par une PME.
Emplois d’avenir. 150.000 emplois d’avenir seront proposés au cours des trois prochaines années pour faciliter l’intégration professionnelle des jeunes, une catégorie d’âge qui subit de plein fouet les conséquences de la crise.
Baisser le coût du travail sans baisser les salaires. Le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE) permet de baisser de 6% le coût du travail pour les entreprises du secteur concurrentiel grâce à un effort de 20 milliards d’euros annuels.
Sécuriser l’emploi. L’Accord national interprofessionnel du 11 janvier est une rupture dans l’histoire sociale de notre pays. Pour la première fois, l’Etat a confi é aux partenaires sociaux le soin de fi xer le contenu des réformes du marché du travail. Cet accord gagnant-gagnant permet de fluidifier le marché du travail tout en garantissant de nouveaux droits pour les salariés.
Renforcer le service public de l’emploi. Affaibli et abîmé par les réformes Sarkozy, Pôle Emploi, le service public de l’emploi, manquait cruellement de moyens. Depuis cet été, 4000 nouveaux CDI ont été embauchés à Pôle Emploi pour mieux accompagner les demandeurs d’emploi.
Lutter contre la désindustrialisation. De 2002 à 2012, la France a perdu 600.000 emplois industriels. La gauche refuse l’impuissance : le ministère du redressement productif et ses services se saisissent de tous les plans sociaux et mobilisent les énergies pour trouver des solutions. Bilan en cours : 487 dossiers traités, 65.031 emplois sauvés sur les 76.809 initialement menacés.
Engager la relocalisation. Un programme de relocalisation s’adressant à 300 multinationales a été mis sur pied pour valoriser les atouts du site France et encourager la relocalisation d’activités industrielles.
Lutter contre les licenciements boursiers. Une proposition de loi examinée ce Printemps va contraindre les multinationales à reconsidérer tous les projets de fermeture de sites. Un repreneur devra systématiquement être recherché ce qui permettra d’éviter les fermetures de sites rentables inspirées par les seules logiques financières à courte vue.
Les 101 raisons de faire confiance à la gauche ici
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