Les réunions du 20 novembre 2013 de l’atelier technique se sont déroulées à la Direction Départementale des Territoires de l’Allier, à Yzeure. Les thèmes suivants ont été abordés :
- Le franchissement du Val d’Allier"
- Les "Aires" et "Péage ouvert"
Le franchissement du Val d’Allier
Réunion technique du comité de pilotage de la RCEA du 20 novembre 2013
Les réunions du 20 novembre 2013 de l’atelier technique se sont déroulées à la Direction Départementale des Territoires de l’Allier, à Yzeure. Les thèmes suivants ont été abordés :
- Le franchissement du Val d’Allier"
- Les "Aires" et "Péage ouvert"
Le franchissement du Val d’Allier
La réunion avait pour objet, l’identification des options à privilégier pour le franchissement du Val d’Allier.
La DREAL a rappelé les différents enjeux relatifs à ce sujet : mobilité du lit de la rivière Allier, présence de la Réserve Naturelle Nationale (RNN) dont le contour correspond au domaine public fluvial, présence de captages AEP à l’est de l’ouvrage actuel, protégés par des enrochements et submersibilité de la RCEA.
Elle a ensuite détaillé le périmètre du Val d’Allier : il s’agit de la section comprise entre l’échangeur de Chemilly jusqu’à l’échangeur de Toulon-sur-Allier.
Dans le coût des travaux restant à réaliser (361 millions d’euros), la mise à deux fois deux voies de cette section à l’identique est intégrée et estimée à 40 millions d’€. L’atelier porte plus précisément sur la section centrale concernée d’une part, par les problématiques de franchissement de la rivière Allier, de la RNN et, d’autre part, par le caractère inondable de la RCEA en cas de forte crue.
Les différents scénarii étudiés ont été présentés par le CETE de Lyon et la DREAL. Les travaux visent l’élargissement du pont. Le choix implique divers travaux : reprendre ou non les ouvrages de transparence hydraulique (buses sous la RCEA actuelle), déconstruire ou non le remblai, rehausser les talus, la chaussée et une partie du pont avec des incidences sur les ouvrages d’art.
Une grande partie des discussions a également porté sur le risque de submersibilité de la RCEA. La DREAL et le CETE ont précisé qu’une étude hydraulique permettant d’en mesurer les impacts serait entreprise. Le surcoût lié au rehaussement de la nouvelle chaussée et de la chaussée actuelle par rapport au coût estimé pour l’aménagement de l’axe (361 millions d’€) est de 12 millions d’euros.
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