Vendredi 2 juillet 2010 au soir, c’était la fête aux Ozières…
Mais pendant trois jours, aucune trace de la foule assistant à ce spectacle... dans les pages de la gazette quotidienne spécialisée dans les nouvelles locales !!!
Oubliés aussi avec le feu d’artifice final tous les autres feux d’artifice: les animations conçues pour les enfants, la musique variété rock et Percebulle de Noël Delmat, conte poétique et musical du petit saumon...
Mais dans l’édition de mardi 6 juillet, enfin la lumière... la mémoire, par miracle ( ?), est revenue.
Les 8 000 étaient même, sur le papier, devenus, par remord (?), près de 10 000.
Plus fort que Le Cid et mieux que le livret A !!
Que faire pour éviter l’amnésie passagère quand il s’agit d’un tel succès populaire?
La comparaison est inévitable avec une autre manifestation (cinématographique) qui bénéficie de fanfares, tambours, trompettes et de grandes surfaces de journal malgré une participation d’un tout petit nombre de centaines de spectateurs.
Attendons que de mauvais esprits nous proposent, avec humour, des solutions inattendues...
Frivolités !!!
La seule réalité importante de cette affaire, c’est la très grande satisfaction exprimée par le public à l’issue du spectacle.
Je vous propose quelques idées :
- s’interdire tout esprit critique à l’égard du moindre hobereau de la plume,
- créer dans ce blog, une chronique régulière destinée à l’usage de la brosse à reluire en faveur de notre immense presse locale,
- créer un hymne dont le titre entretiendrait la confusion, grâce au talent de Jean Ferrat : « Que la montagne est grande… »,
- acheter des encarts publicitaires pour y faire publier vos informations…
Courage et bonne chance pour votre impertinence salutaire
Piment de Cayenne
Rédigé par : Piment de Cayenne | 08 juillet 2010 à 08:19