- Palmarès des sports de la ville de Moulins
11 photos regroupées en une seule page. Un podium remarquable.
Sur la plus haute marche
11 photos : José Alonso, Conseiller municipal,
9 photos : Christian Place, Adjoint au maire,
8 photos : Hubert Gomot.
Est-ce vraiment le palmarès des sportifs de la ville ou le palmarès des récompenses de la course à la photo ?
- Mélange des genres
Rencontre de Pierre-André Perissol et de la Chambre de Commerce de Moulins-Vichy sur les projets de la ville de Moulins couverte par la presse locale. Je note une confusion voulue mais habituelle des projets de la ville et ceux de la Communauté d’Agglomération.
Ou comment s’approprier un projet collectif ? Une technique bien rodée.
Les citoyens ne sont pas dupes.
Il est savoureux de constater que l’on justifie les implantations de grandes surfaces au nom de la lutte contre l’évasion commerciale alors qu’il y a seulement quelques années, on refusait cette idée et qu’au nom de la protection du commerce de centre ville, on votait dans les commissions d’équipement commercial contre les nouvelles implantations et leurs extensions.
Ajoutons aussi que s’il n’y avait eu que les ressources liées à la taxe professionnelle apportée par la ville de Moulins, il n’y aurait pas eu autant de réalisations intercommunales. De plus les espaces et bâtiments vétustes (stade d’athlétisme, piscine, médiathèque) transférés à la Communauté d’Agglomération seraient restés en l’état.
Espérons que la prochaine CDAC, les votes suivront les intentions.
- Une nouvelle délégation de service public pour le transport urbain.
Un indispensable retour aux fondamentaux !
Lors de l’attribution du réseau Transdev, j’avais alerté le Conseil communautaire sur l’approche non satisfaisante à mes yeux du réseau qui était présenté et les risques financiers encourus.
Le Conseil communautaire en avait décidé autrement en attribuant le marché à Transdev.
Les faits m’ont donné raison. Le coût du réseau a explosé et malgré cela le nombre de voyageurs diminue.
La subvention d’équilibre versée par le contribuable a été multipliée par 8 atteignant même 700 000 € certaines années alors qu’elle était autour de 70 000 € en 2001 à la création de la communauté.
Il faut revenir aux fondamentaux :
- un réseau appuyé sur les scolaires
- une lisibilité plus grande avec une desserte à heure fixe
- une billetterie permettant de connaître avec précision la fréquentation
- une organisation irréprochable du réseau (horaire, information, qualité des bus)
- une implication calibrée et limitée des finances de la Communauté d’Agglomération.
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