Non, non et non, il ne va pas changer son équipe à l’issue du vote.
Et pourtant, la classe politique, qui n’a pas oublié le scénario des européennes, bruisse au sujet d’un probable remaniement au lendemain des régionales.
Première victime, l’ouverture. «Nous les parlementaires, on trouve peut-être que l'ouverture ça a été bien mais qu'aujourd'hui ce n'est peut-être plus beaucoup d'actualité», a par exemple déclaré la députée Chantal Brunel vendredi sur Canal+.
Comme elle, de nombreux élus de la majorité demandent un geste fort pour compenser la déroute électorale. Deux options: soit sacrifier les ministres d'ouverture, soit nommer des personnalités de droite…
Commentaires