9. Nicolas Sarkozy, c’est la remise en cause des libertés publiques.
Au nom de la lutte contre l’insécurité, le Ministre de l’Intérieur a déjà rogné de nombreux droits fondamentaux et fragilisé le principe de séparation des pouvoirs en stigmatisant les magistrats et les décisions de justice. Dans la même logique, Nicolas Sarkozy remet, par exemple, en cause le droit de grève.
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8. Nicolas Sarkozy, c’est le "tout répressif".
Alors que politique de lutte contre l’insécurité qu’il a mené depuis plusieurs années, a eu des résultats désastreux, Nicolas Sarkozy compte poursuivre le "tout répressif" en abaissant la majorité pénale de 18 à 16 ans et en multipliant les mesures sécuritaires et inhumaines.
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6. Nicolas Sarkozy, c’est la fin de la sécurité sociale.
En instaurant une franchise pour les remboursements de soins et en favorisant le développement du secteur privé, Nicolas Sarkozy met profondément à mal la sécurité sociale et ouvre la voie à la privatisation totale du secteur de la santé en France.
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5. Nicolas Sarkozy, c’est la société des héritiers.
"Tout devient possible"... pour les plus riches! En se prononçant pour la suppression des droits de succession, Nicolas Sarkozy construit un système qui va reproduire, génération après génération, les inégalités plutôt que de les réduire. C’est la concentration des richesses dans les mains des héritiers.
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4. Nicolas Sarkozy, c’est le développement de l’école privée au détriment du public.
Nicolas Sarkozy, en tant que président du Conseil général des Hauts-de-Seine, continue à financer largement la "fac PASQUA" avec des fonds publics. Dans la même logique, il souhaite promouvoir les écoles privées et supprimer les Zones d’Education Prioritaires qui permettent pourtant de donner plus de moyens aux établissements des quartiers les plus défavorisés.
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1. Nicolas Sarkozy, c’est la précarité de l’emploi généralisée.
Le candidat de l’UMP veut "fluidifier" le marché de travail en instaurant un contrat unique calqué sur le CNE /CPE. Avec lui, c’est la fin des CDI, la fragilisation des droits des salariés et la précarisation généralisée de l’emploi. Il l’a d’ailleurs reconnu : "le CNE est un progrès, il ne faut pas y toucher " (24 janvier 2007).
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