Les dossiers de l'agriculture

Appellation d’origine contrôlée

Depuis des décennies tous les élus, de toutes étiquettes politiques, se sont inscrits dans un mouvement d’accompagnement, avec leurs moyens disponibles, des efforts des viticulteurs pour voir le vignoble de Saint-Pourçain accéder à la classification la plus haute, celle de l’appellation d’origine contrôlée (AOC).

Guy Chambefort, de façon collective, en particulier avec les autres députés de l’Allier a poursuivi ce travail sans faire d’éclats ni de falbalas.

Aujourd’hui c’est chose faite…Le but a été atteint !
C’est une très bonne nouvelle pour l’Allier… Elle dépasse très largement tous les découpages administratifs !!!

Cliquez ici pour lire la lettre de remerciements adressée par les professionnels, à Guy Chambefort.

Depuis des décennies tous les élus, de toutes étiquettes politiques, se sont inscrits dans un mouvement d’accompagnement, avec leurs moyens disponibles, des efforts des viticulteurs pour voir le vignoble de Saint-Pourçain accéder à la classification la plus haute, celle de l’appellation d’origine contrôlée (AOC).

Guy Chambefort, de façon collective, en particulier avec les autres députés de l’Allier a poursuivi ce travail sans faire d’éclats ni de falbalas.

Aujourd’hui c’est chose faite…Le but a été atteint !
C’est une très bonne nouvelle pour l’Allier… Elle dépasse très largement tous les découpages administratifs !!!

Cliquez ici pour lire la lettre de remerciements adressée par les professionnels, à Guy Chambefort.

A la rencontre des retraités agricoles

A la demande de la Section Départementale des Anciens Exploitants, une rencontre a été organisée le lundi 15 juin à 16h au siège de la Mutualité Sociale agricole, avenue Meunier à Moulins. Une précédente rencontre avait déja eu lieu le 21 janvier 2008. Après un tour de table, Mme Cusin-Masset, Présidente du Comité départemental de l'Allier donnait quelques informations sur le rattachement de la caisse de l'Allier à la MSA Auvergne qui regroupe les 1200 délégués des quatre départements.

Des statistiques démographiques et des actualités sur la branche retraite étaient données par des techniciens et permettaient de lancer le débat. On évoquait l'augmentation mensuelle parfois insignifiante des retraites (voir article du Bourbonnais Rural du 12 juin) et ses répercussions fiscales. On abordait le problème de la dette qui s'élève 13 milliards d'euros en raison d'un déficit démographique (trois fois plus de retraités que d'actifs),du pouvoir d'achat, des retraites en dessous du seuil de pauvreté, du manque de lisibilité et du changement de date des versements...et l'on terminait par les évolutions légistatives souhaitables.

Guy Chambefort et Marie-José Chassin assistaient à cette réunion. 

A la demande de la Section Départementale des Anciens Exploitants, une rencontre a été organisée le lundi 15 juin à 16h au siège de la Mutualité Sociale agricole, avenue Meunier à Moulins. Une précédente rencontre avait déja eu lieu le 21 janvier 2008. Après un tour de table, Mme Cusin-Masset, Présidente du Comité départemental de l'Allier donnait quelques informations sur le rattachement de la caisse de l'Allier à la MSA Auvergne qui regroupe les 1200 délégués des quatre départements.

Des statistiques démographiques et des actualités sur la branche retraite étaient données par des techniciens et permettaient de lancer le débat. On évoquait l'augmentation mensuelle parfois insignifiante des retraites (voir article du Bourbonnais Rural du 12 juin) et ses répercussions fiscales. On abordait le problème de la dette qui s'élève 13 milliards d'euros en raison d'un déficit démographique (trois fois plus de retraités que d'actifs),du pouvoir d'achat, des retraites en dessous du seuil de pauvreté, du manque de lisibilité et du changement de date des versements...et l'on terminait par les évolutions légistatives souhaitables.

Guy Chambefort et Marie-José Chassin assistaient à cette réunion. 

Mobilisation des agriculteurs: le PS dénonce "l'hypocrisie" du gouvernement

Le PS a dénoncé vendredi "l'hypocrisie" du gouvernement face à la mobilisation des agriculteurs qui bloquent plus de la moitié des plates-formes d'approvisionnement des grandes surfaces pour dénoncer les marges de celles-ci.

"Le Parti socialiste constate et dénonce l'hypocrisie d'un gouvernement qui a pourtant soutenu et fait voter en 2008 la loi de modernisation de l'économie (LME). Cette loi, au prétexte d'améliorer le pouvoir d'achat, a conforté les positions dominantes de la grande distribution", écrivent dans un communiqué Germinal Peiro, secrétaire national à la ruralité, et Philippe Doucet, Secrétaire national aux droits des consommateurs.

"Face à la position dominante de la grande distribution, le Parti socialiste demande" notamment "la transparence totale sur les marges des distributeurs" et "le renforcement des prérogatives de l'Autorité de la concurrence" dans ce communiqué intitulé "Grande distribution : mettre fin aux abus de position dominante".

Les agriculteurs, qui bloquent depuis jeudi soir plus de la moitié des plates-formes d'approvisionnement des grandes surfaces pour dénoncer leurs marges, devaient être reçus samedi matin par les ministres Michel Barnier et Luc Chatel.

Le PS a dénoncé vendredi "l'hypocrisie" du gouvernement face à la mobilisation des agriculteurs qui bloquent plus de la moitié des plates-formes d'approvisionnement des grandes surfaces pour dénoncer les marges de celles-ci.

"Le Parti socialiste constate et dénonce l'hypocrisie d'un gouvernement qui a pourtant soutenu et fait voter en 2008 la loi de modernisation de l'économie (LME). Cette loi, au prétexte d'améliorer le pouvoir d'achat, a conforté les positions dominantes de la grande distribution", écrivent dans un communiqué Germinal Peiro, secrétaire national à la ruralité, et Philippe Doucet, Secrétaire national aux droits des consommateurs.

"Face à la position dominante de la grande distribution, le Parti socialiste demande" notamment "la transparence totale sur les marges des distributeurs" et "le renforcement des prérogatives de l'Autorité de la concurrence" dans ce communiqué intitulé "Grande distribution : mettre fin aux abus de position dominante".

Les agriculteurs, qui bloquent depuis jeudi soir plus de la moitié des plates-formes d'approvisionnement des grandes surfaces pour dénoncer leurs marges, devaient être reçus samedi matin par les ministres Michel Barnier et Luc Chatel.

Les agriculteurs très mobilisés contre la grande distribution

Environ 7.000 agriculteurs bloquaient en milieu de journée 41 plates-formes de distribution sur le territoire, selon la FNSEA, à l'origine de cette mobilisation qui ne touche pas l'Ile-de-France.

Prévu pour durer 48 heures, le mouvement a débuté officiellement hier soir, mais a en fait commencé depuis plusieurs jours dans le Grand Ouest à l'initiative d'éleveurs en colère contre le récent accord sur le prix du lait, jugé très insuffisant.

Lire l'article en entier et dans son contexte, en cliquant ici

 

Le blocage se poursuit dans l'Allier.

Environ 7.000 agriculteurs bloquaient en milieu de journée 41 plates-formes de distribution sur le territoire, selon la FNSEA, à l'origine de cette mobilisation qui ne touche pas l'Ile-de-France.

Prévu pour durer 48 heures, le mouvement a débuté officiellement hier soir, mais a en fait commencé depuis plusieurs jours dans le Grand Ouest à l'initiative d'éleveurs en colère contre le récent accord sur le prix du lait, jugé très insuffisant.

Lire l'article en entier et dans son contexte, en cliquant ici

 

Le blocage se poursuit dans l'Allier.

Prix du lait: l'accord passe mal

L'accord sur le prix du lait conclu mercredi au ministère de l'Agriculture passe mal: dénoncé au niveau national par les organisations syndicales qui n'ont pas été associées à la négociation, il suscite le mécontentement dans l'Ouest où la colère gronde.

De nouvelles actions en direction des centrales de la grande distribution vont être rapidement organisées, a annoncé jeudi la FRSEAO-lait, branche lait de la Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles de l'Ouest (Bretagne et Pays de la Loire).

Article à lire !

L'accord sur le prix du lait conclu mercredi au ministère de l'Agriculture passe mal: dénoncé au niveau national par les organisations syndicales qui n'ont pas été associées à la négociation, il suscite le mécontentement dans l'Ouest où la colère gronde.

De nouvelles actions en direction des centrales de la grande distribution vont être rapidement organisées, a annoncé jeudi la FRSEAO-lait, branche lait de la Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles de l'Ouest (Bretagne et Pays de la Loire).

Article à lire !

Négociations sur le prix du lait

Industriels et producteurs de lait ont échoué une fois de plus à se mettre d'accord dans la nuit de mardi à mercredi après 12 heures de négociations sur les prix du lait pour 2009, a indiqué à l'AFP la Fédération nationale des producteurs laitiers (FNPL).
Une précédente rencontre, jeudi dernier, entre les trois familles -éleveurs, industriels et coopératives- de la filière pour tenter de trouver un accord sur le prix du lait avait également abouti à un échec.

Dès la sortie de la réunion, les présidents des trois familles ont immédiatement été convoqués au ministère de l'agriculture où ils doivent rencontrer le directeur de cabinet du ministre, Michel Barnier, a indiqué pour sa part à l'AFP la Fédération nationale des coopératives laitières (FNCL).

La rencontre, qui s'est tenue sous l'égide des deux négociateurs nommés par le gouvernement, avait débuté en début d'après-midi et s'est terminée à 2h  45. "Il y a eu rupture des négociations, les positions de chacun étaient trop éloignées", a expliqué un négociateur de la FNPL qui représente les producteurs. "Les écarts de prix sont restés trop importants", a-t-il ajouté. Alors que les industriels ont proposé 276 euros pour 1 000 litres, les éleveurs laitiers sont restés sur leur position de 290 euros pour 1 000 litres.

La réunion de jeudi dernier avait aussi achoppé sur le prix. Les producteurs avaient baissé leurs prétentions de 305 euros à 290 euros pour  1 000 litres mais les industriels n'avaient pas voulu bouger, à 267 euros. "Aucune nouvelle réunion n'est prévue", a encore indiqué le négociateur de la FNPL.
afp

Nouvel épisode :

Dans la nuit de mercredi à jeudi un accord est intervenu, en particulier à 280 euros pour 1 000 litres de lait.
Lire le communiqué du ministère de l'agriculture en cliquant ici

Industriels et producteurs de lait ont échoué une fois de plus à se mettre d'accord dans la nuit de mardi à mercredi après 12 heures de négociations sur les prix du lait pour 2009, a indiqué à l'AFP la Fédération nationale des producteurs laitiers (FNPL).
Une précédente rencontre, jeudi dernier, entre les trois familles -éleveurs, industriels et coopératives- de la filière pour tenter de trouver un accord sur le prix du lait avait également abouti à un échec.

Dès la sortie de la réunion, les présidents des trois familles ont immédiatement été convoqués au ministère de l'agriculture où ils doivent rencontrer le directeur de cabinet du ministre, Michel Barnier, a indiqué pour sa part à l'AFP la Fédération nationale des coopératives laitières (FNCL).

La rencontre, qui s'est tenue sous l'égide des deux négociateurs nommés par le gouvernement, avait débuté en début d'après-midi et s'est terminée à 2h  45. "Il y a eu rupture des négociations, les positions de chacun étaient trop éloignées", a expliqué un négociateur de la FNPL qui représente les producteurs. "Les écarts de prix sont restés trop importants", a-t-il ajouté. Alors que les industriels ont proposé 276 euros pour 1 000 litres, les éleveurs laitiers sont restés sur leur position de 290 euros pour 1 000 litres.

La réunion de jeudi dernier avait aussi achoppé sur le prix. Les producteurs avaient baissé leurs prétentions de 305 euros à 290 euros pour  1 000 litres mais les industriels n'avaient pas voulu bouger, à 267 euros. "Aucune nouvelle réunion n'est prévue", a encore indiqué le négociateur de la FNPL.
afp

Nouvel épisode :

Dans la nuit de mercredi à jeudi un accord est intervenu, en particulier à 280 euros pour 1 000 litres de lait.
Lire le communiqué du ministère de l'agriculture en cliquant ici