La première qualité du journaliste qui se veut chroniqueur judiciaire semble bien en effet, être l'expérience. Les scènes qui se jouent dans le prétoire engagent bien souvent la vie d'êtres humains, et il faut de la pondération pour en rendre compte, en allant au-delà de toutes les formes d'influences.
On nous a rapporté quelquefois malaise, agacement, inquiétude et même indignation après la lecture de certaines chroniques judiciaires du journal «La Montagne».
Un droit au respect du minimum d’humanité qui existe dans tout justiciable apparait, semble-t-il, comme la pierre d’achoppement.
On parle de pétition à faire circuler ou d’association à créer...
« On ne s’est jamais grandi, en toisant la misère humaine »!
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