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Les traditionnelles questions:
· Questions orales sans débat,
· Questions au Gouvernement.
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Discussion de divers projets de loi :
Discussion, sur le rapport de la commission mixte paritaire, du projet de loi en faveur des revenus du travail.
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Déclaration du Gouvernement suivie d'un débat sur le "paquet énergie-climat".
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Explications de vote et vote par scrutin public sur le projet de loi de finances pour 2009 (nos 1127-1198-1199-1200-1201-1202-1203) - voir le dossier
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Les traditionnelles questions:
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· Questions orales sans débat,
· Questions au Gouvernement.
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Discussion de la seconde partie du projet de loi de finances pour 2009 - voir le dossier - suite
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L'Assemblée nationale a adopté mardi, en fin d'après-midi par un vote solennel des députés la première partie du projet de budget 2009 (volet recettes), dont l'hypothèse de croissance de 1% du PIB est fortement menacée par la crise.
afp
Le budget 2009 vu par le groupe socialiste, radical et citoyen:
Cliquez ici pour voir un diaporama !
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Les traditionnelles questions:
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· Questions orales sans débat,
· Questions au Gouvernement.
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Discussion de plusieurs textes de loi.
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- Article 33 du projet de loi de finances pour 2009 (prélèvement européen), et discussion des articles de la première partie (nos 1127-1198-1199-1200-1201-1202-1203) - voir le dossier - suite
- Explications de vote et vote par scrutin public sur la première partie du projet de loi de finances pour 2009 (nos 1127-1198-1199-1200-1201-1202-1203) - voir le dossier
- Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2009 (no 1157) - voir le dossier - suite
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Rédigé à 08:01 dans Actualité, sur le terrain, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Le ministre du Budget Eric Woerth a obtenu jeudi que l'Assemblée nationale ne touche pas au bouclier fiscal, qui plafonne l'impôt à 50% des revenus, tout en admettant "un problème de calcul" mis en évidence par l'opposition.
L'Assemblée nationale a rejeté à la demande du gouvernement la mise en place d'une écotaxe sur les sacs plastiques non-biodégradables, pourtant proposée par des députés de la majorité, jeudi, lors de l'examen du projet de budget 2009.
Les députés ont adopté mardi un amendement UMP au projet de Budget 2009 réduisant le malus automobile, qui pénalise l'achat de véhicules polluants, pour les familles de trois enfants et plus.
Les immeubles laissés vacants par la réforme de la carte militaire (restructuration des armées) entre 2009 et 2014 pourront être cédés pour un euro symbolique aux communes, selon un amendement du gouvernement au projet de budget 2009 voté vendredi à l'Assemblée.
Les députés ont adopté vendredi une forte hausse du prix des passeports à l'occasion du passage au biométrique, de 60 à 89 euros pour les adultes, vendredi, lors de l'examen du projet de budget 2009.
Le prix d'un passeport passe aussi 30 à 45 euros pour les 15-18 ans. Par ailleurs, pour les moins de 15 ans, dont le passeport était jusqu'à présent gratuit, il en coûtera 20 euros.
Nicolas Hulot a dénoncé vendredi "l'entêtement" français sur les biocarburants, après que les députés furent revenus sur la fin programmée dans le budget 2009 des avantages fiscaux dont ils bénéficient.
"Les agro carburants ne sont en aucun cas la réponse à nos besoins énergétiques", a déclaré M. Hulot.
Les députés ont voté vendredi la création d'une nouvelle "redevance" pour l'envoi à domicile des cartes grises (certificats d'immatriculation des véhicules), lors de l'examen du projet de budget 2009.
Le député UMP Bernard Carayon a dénoncé vendredi la baisse programmée -de 65% à 35%- du taux de remboursement par la Sécurité sociale des cures thermales.
afp
Rédigé à 07:42 dans assemblée nationale, budget, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Le premier secrétaire du PS, François Hollande, a jugé mardi que "quand l'avenir de la planète et nos engagements européens sont en cause, il n'y a plus de clivages politiques qui demeurent", en justifiant le vote par les députés socialistes du projet de loi Grenelle de l'environnement.
"Il n'y avait pas de raison" de ne pas voter un texte qui "évoque notre avenir pour les 20 ou 30 prochaines années" et dont "les objectifs" sont "les nôtres", a-t-il dit sur RTL, citant "l'urgence écologique", "le principe de précaution" ou « le développement durable ».
"On vote parce que ça nous paraît être enfin un texte qui peut rassembler le pays au-delà de ses clivages politiques", a-t-il insisté.
Toutefois, a prévenu le numéro un du PS, le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo et la secrétaire d'Etat Nathalie Kosciusko-Morizet "vont être eux-mêmes responsables et comptables" des engagements pris.
Dans le prochain projet de loi Grenelle II, "si les décisions ne correspondent pas aux engagements et aux paroles prononcées aujourd'hui (...) je vous dirai (alors) pourquoi on vote contre", a averti M. Hollande.
Le Grenelle II, ce ne seront "plus des questions de principe mais de modalités" et on verra alors "s'il y a une véritable volonté", a-t-il ajouté.
PS: Pour consulter le diaporama des arguments, cliquez ici
Rédigé à 07:03 dans grenelle de l'environnement, projet de loi, à l'Assemblée Nationale, écologie | Lien permanent | Commentaires (0)
Nicolas Hulot a appelé lundi les députés à "un vote unanime de la loi Grenelle 1", mardi à l'Assemblée nationale "afin de donner un signal clair sur la priorité écologique".
"Plus que jamais, la crise écologique et climatique impose de dépasser les postures politiques, écrit-il dans un communiqué à l'AFP.
"Lors de l'examen du texte en première lecture à l'Assemblée, les députés ont su faire des propositions constructives, au-delà des clivages traditionnels. La loi Grenelle 1, fidèle aux grands objectifs fixés par les tables rondes d'octobre 2007, constitue une étape importante pour amorcer la mutation écologique de la France", poursuit-il en "saluant ce travail encourageant".
Néanmoins, le défenseur de l'environnement "regrette la révision à la baisse de certains objectifs et mesures" et cite "la frilosité du Parlement sur la fiscalité écologique (éco-redevance poids lourds, contribution climat énergie - ou taxe carbone), sur la rénovation thermique du bâtiment et sur l'agriculture de qualité dans la restauration collective".
Nicolas Hulot et les experts de sa Fondation pour la nature et pour l'homme indiquent qu'ils livreront prochainement leur analyse détaillée du texte qui doit ensuite être transmis au Sénat.
Rédigé à 07:39 dans grenelle de l'environnement, projet de loi, à l'Assemblée Nationale, écologie | Lien permanent | Commentaires (0)
Le député UMP François Goulard (villepiniste) estime que le gouvernement doit cesser d'être "dans la fable" pour les prévisions inscrites au projet de budget pour 2009 et prédit des "gels de crédits", dans un entretien à Liberation.fr.
"C'est mieux d'intégrer les conséquences de la crise que d'être dans la fable", lance le député-maire de Vannes, pour qui le gouvernement devrait revoir ses prévisions de croissance "par amendement présenté en cours de discussion" budgétaire.
"Les députés commencent l'examen aujourd'hui et le vote n'aura lieu qu'en décembre, donc c'est possible. Ce serait de bonne pratique (...) Il est classique qu'un gouvernement en rajoute un peu dans l'optimisme (...) Mais entre ça et ne pas tenir compte des réalités, il y a une certaine marge", ajoute-t-il.
Jugeant "à peu près évident" que la France dépassera les 3% de déficit, M. Goulard pense que le gouvernement fera "adopter le projet loi de finances tel qu'il a été présenté, et après avoir enregistré une baisse des recettes fiscales, il gèlera des crédits dès le début de l'année, quitte à augmenter d'autres dépenses".
"Le budget voté et le budget réel seront plus différents qu'ils ne l'ont jamais été", pronostique-t-il.
afp
Rédigé à 07:25 dans budget, fiscalité, gouvernance, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
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Les traditionnelles questions :
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· Questions orales sans débat,
· Questions au Gouvernement.
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Discussion de plusieurs textes de loi.
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- Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2009 à 2012 (nos 1128-1155) - voir le dossier - suite
- Articles de la première partie du projet de loi de finances pour 2009 (no 1127) - voir le dossier
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Explication de vote et vote d’un texte de loi.
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- Projet de loi de programme relatif à la mise en oeuvre du Grenelle de l'environnement (nos 955-1125-1133) - voir le dossier - suite
Rédigé à 09:59 dans budget, fiscalité, grenelle de l'environnement, loi de finances, projet de loi, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 08:00 dans Actualité, sur le terrain, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
L'examen à l'Assemblée nationale du projet de loi sur le plan d'urgence de soutien aux banques débutera ce mardi après-midi vers 16H15 pour un vote programmé aux alentours de 20h, a-t-on appris à l'issue de la conférence des présidents au Palais-Bourbon.
Le texte du gouvernement, examiné dans la matinée en commission des Finances, est officiellement appelé "projet de loi de finances rectificative pour le financement de l'économie".
AFP
Rédigé à 12:42 dans assemblée nationale, crise, proposition de loi, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 14:42 dans Actualité, sur le terrain, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Le premier secrétaire du PS, François Hollande, a accusé le gouvernement de présenter un budget 2009 "d'ores et déjà décalé" face à la "gravité" de la crise financière, mercredi lors du débat sur la crise à l'Assemblée nationale.
"Votre budget d'ores et déjà est complètement décalé par rapport à la gravité de la crise", a lancé M. Hollande au Premier ministre François Fillon.
"Vos objectifs de croissance ne seront pas tenus ni pour 2009 ni pour 2010. Vous vous obstinez à poursuivre une politique qui ne marche pas. Dans la crise, c'est non seulement injustifiable mais impardonnable", a-t-il ajouté.
"Cette crise, vous l'avez sous-estimée dès le départ", a-t-il lancé à la ministre de l'Economie Christine Lagarde.
M. Hollande a tout de même salué l'action de l'exécutif quand il cherche à rassurer les épargnants ou quand il sauve le groupe bancaire franco-belge Dexia.
Pour soutenir l'investissement, le patron du PS a de nouveau proposé au Premier ministre la création "d'un fonds national de garantie des prêts".
Il a aussi proposé un "soutien de l'investissement privé en modulant l'impôt sur les sociétés".
M. Hollande a plaidé pour "obtenir la transparence et la vérité sur l'ensemble du système bancaire". Il a demandé que l'Etat garde "le temps nécessaire" ses prises de participation dans les établissements en difficulté.
Au niveau européen, le député de Corrèze a formulé trois propositions: "un plan européen de sauvetage du système bancaire", demander à la Banque centrale européenne qu'elle "apporte de la liquidité", "le lancement d'un grand emprunt européen pour soutenir l'activité de l'ensemble de nos pays".
Rédigé à 18:02 dans crise, débat, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 08:00 dans Actualité, sur le terrain, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
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- Ouverture de la session ordinaire
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- Nomination, éventuellement par scrutin, des six vice-présidents, des trois questeurs et des douze secrétaires
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- Suite de la discussion du projet de loi généralisant le revenu de solidarité active et réformant les politiques d'insertion (nos 1100-1112-1113) - voir le dossier - suite
Rédigé à 08:00 dans assemblée nationale, chômage, emploi, gouvernance, RSA, social, solidarite, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 08:00 dans Actualité, sur le terrain, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
La majorité UMP, le Nouveau centre et François Bayrou ont voté pour, tandis que PS, PCF et Verts ont voté contre.
Jean-Marc Ayrault, le président du groupe PS, a dénoncé un glissement vers une "guerre d'occupation".
Le Premier ministre François Fillon a annoncé des moyens supplémentaires et a dit s'attendre à de "probables pertes".
Le maintien des troupes a été approuvé par 343 voix contre 210.
Les députés débattaient ce lundi de la présence militaire française, sur fond de polémique à propos des moyens dont disposent les soldats français sur le terrain.
Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS à l'Assemblée nationale, a justifié à la tribune le "non" des socialistes au maintien des troupes françaises en Afghanistan, lors du débat parlementaire. Le PS "n'accepte plus la dérive à l'œuvre" qui conduit à un glissement "vers une guerre d'occupation", a-t-il indiqué.
"A l'évidence, nos troupes manquent d'un matériel adapté notamment en matière de renseignement et d'héliportage (...). C'est la responsabilité des autorités politiques et militaires de la Défense nationale d'y remédier", a lancé Jean-Marc Ayrault.
Tout en soulignant que "la France ne peut pas se désengager brutalement de l'Afghanistan", le PS "n'accepte plus la dérive qui est à l'œuvre en Afghanistan", a-t-il dit.
"Nous ne votons pas contre la poursuite" de l'engagement français, "nous votons contre une conception politique et militaire qui nous conduit dans une impasse", a-t-il dit.
Rédigé à 18:16 dans débat, intervention des forces armées, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Ouverture de la session extraordinaire
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Rédigé à 09:00 dans assemblée nationale, intervention des forces armées, revenus du travail, RSA, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Jean-Marc Ayrault, a estimé que le séminaire de rentrée des députés PS, qui se tiendra à huis clos, montre que "les socialistes sont au travail".
Les parlementaires PS débattent en deux temps, d'abord commission par commission avec les différents membres socialistes des commissions permanentes de l'Assemblée, et l'après-midi en séance plénière "pour arriver à une position commune", a-t-il expliqué.
L'organisation de ce séminaire a été préférée aux traditionnelles journées parlementaires du mois de septembre.
(AFP)
Rédigé à 07:11 dans assemblée nationale, groupe socialiste, parti socialiste, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 07:50 dans assemblée nationale, enseignement, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Parlement a été convoqué en session extraordinaire le 22 septembre par Nicolas Sarkozy pour examiner le Revenu de solidarité active (RSA) et la participation-intéressement des salariés, une perspective qui a suscité des critiques parmi les députés de tous bords.
Après la "proposition" de réunir le Parlement de façon anticipée, formulée jeudi 31 juillet par François Fillon, le président de la République l'a convoqué par décret daté du 1er août et signé du Lavandou (Var), où il passe ses vacances.
Ce décret a été rendu public par l'Assemblée nationale.
Au menu des élus à partir du 22 septembre: les revenus du travail (intéressement et participation) et la généralisation du RSA, une réforme des politiques d'insertion chère à Martin Hirsch, mais qui est loin de faire l'unanimité à l'UMP.
Particularité de cette session extraordinaire: seule l'Assemblée nationale débattra.
Les parlementaires enchaîneront avec la session ordinaire, le 1er octobre qui sera largement consacrée au budget général et au budget sécu 2009, mais qui pourrait aussi examiner cinq autres textes.
Rédigé à 07:43 dans session extraordinaire, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Bernard Tapie sera auditionné courant septembre par la commission des Finances de l'Assemblée nationale, dans le cadre de l'affaire Tapie/Adidas/CDR, a annoncé mardi le président PS de la commission, Didier Migaud.
Ce dernier avait annoncé la semaine dernière une série d'auditions sur l'affaire. Son entourage avait précisé qu'elles ne devraient pas concerner l'ex-homme d'affaires.
Dans un communiqué, M. Migaud a indiqué mardi qu'il avait demandé à Charles de Courson, député NC représentant l'Assemblée au conseil d'administration de l'Etablissement public de financement et de restructuration (EPFR), de "faire le point sur l'ensemble des procédures liées au dossier".
Après 13 années de procédures, un tribunal arbitral chargé de régler le litige opposant M. Tapie et le Consortium de réalisation (CDR, qui gère le passif du Crédit Lyonnais) a condamné ce dernier à verser à l'ancien homme d'affaires 285 millions d'euros au titre du "manque à gagner" et du "préjudice moral" dans la vente d'Adidas par une filiale de la banque, en 1993.
La décision a suscité l'indignation de François Bayrou (MoDem) et de la gauche qui ont évoqué la création d'une commission d'enquête parlementaire.
"Le 3 septembre", précise M. Migaud, M. de Courson fera une communication devant la commission des Finances, qui entendra "les anciens et actuels présidents du CDR et de l'EFPR: Jean-Pierre Aubert, Bertrand Schneiter, Bernard Scemama et Jean-François Rocchi".
"Par la suite", la commission entendra "Jean Peyrelevade, ancien président du Crédit Lyonnais, et Bernard Tapie".
"Au terme de ces auditions, la commission des Finances appréciera les suites à donner à ces premiers travaux", précise M. Migaud.
AFP
Rédigé à 14:59 dans à l'Assemblée Nationale, économie | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 20:36 dans projet de loi, à l'Assemblée Nationale, économie | Lien permanent | Commentaires (0)
Les écologistes ont qualifié de "service minimum" la loi sur la responsabilité environnementale (LRE), définitivement adoptée mardi par le parlement, qui inscrit dans le droit français le principe pollueur/payeur.
FNE regrette en particulier que soit exclue de la loi la possibilité de rechercher la responsabilité des sociétés-mères. "On nous a frustrés de ce débat en votant ce texte en urgence", a estimé le porte-parole de l'organisation écologiste.
Le texte adopté mardi par le Parlement transcrit une directive européenne datant de 2004. Le gouvernement a transposé également dans ce texte, par amendements, plus d'une dizaine d'autres directives en retard, notamment sur la pollution des navires, la pollution de l'air, l'ozone et le marché européen des émissions de carbone.
AFP
Rédigé à 19:30 dans environnement, à l'Assemblée Nationale, écologie | Lien permanent | Commentaires (0)
Vote du projet de loi modifiant la constitution de la république.
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Discussion de plusieurs projets de loi
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Discussion de 2 rapports
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Julien Dray, porte-parole du PS, a dénoncé des mesures "purement idéologiques" du texte adopté vendredi à l'Assemblée sur les "droits et devoirs des demandeurs d'emploi ", "point final d'un plan minutieusement préparé par l'UMP" selon lui.
Rédigé à 16:37 dans Actualité, emploi, social, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
L'Assemblée a adopté, après le Sénat, le projet de loi sur les droits et devoirs des demandeurs d'emploi dans la nuit de jeudi à vendredi.
L'UMP et ses partenaires du Nouveau centre (NC) ont voté pour, l'opposition (PS, Verts, PCF) a voté contre.
"La philosophie du projet était de mieux accompagner (les demandeurs d'emploi) avec du sur-mesure et d'autre part de mieux contrôler les abus", a résumé le secrétaire d'Etat à l'Emploi Laurent Wauquiez.
Le député PS Michel Issindoux a dénoncé un "texte humiliant pour les demandeurs d'emplois" et le PCF Maxime Gremetz a parlé d'une "régression du code du travail".
Le texte institue la notion de "projet personnel d'accès à l'emploi" et "d'offres raisonnables d'emploi".
Un chômeur sera radié des listes du service public de l'emploi s'il refuse deux "offres raisonnables".
Dès le 4e mois de chômage, les demandeurs d'emploi devront accepter un emploi rémunéré à au moins 95% de leur salaire antérieur, 85% au bout de six mois, et du montant de l'allocation qu'ils perçoivent au bout d'un an.
AFP
Rédigé à 11:10 dans emploi, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Des mesures d'économie sur la Sécurité sociale pourraient être annoncées "avant la fin du mois de juillet", a annoncé mardi le ministre du Budget Eric Woerth à l'Assemblée nationale.
"Des annonces sont envisageables avant la fin du mois de juillet", a indiqué le ministre lors du débat d'orientation budgétaire (DOB), confirmant l'objectif d'un retour à l'équilibre du régime général en 2011.
"Il faut impérativement que l'assurance maladie soit également à l'équilibre d'ici là. Les caisses d'assurance maladie viennent de nous faire des propositions d'économies pour 2009. Nous allons évidemment les étudier en détail", a ajouté M. Woerth, qui veut "traquer les abus, les gaspillages, les dépenses inutiles ou redondantes".
Le ministre a indiqué que des rencontres avaient lieu actuellement avec les mutuelles et les syndicats.
"Après ces réunions, nous disposerons d'un éventail de propositions à partir duquel nous prendrons nos responsabilités", a-t-il détaillé.
Fin juin, la direction de l'assurance maladie avait finalement retiré de sa proposition de plan d'économies toutes les mesures concernant les affections longues durées (ALD), qui avaient provoqué une vive polémique.
La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, s'est prononcée le 8 juillet pour une "maîtrise" des dépenses d'assurance maladie dues aux affections de longue durée (ALD, cancer, diabète ou VIH).
AFP
Rédigé à 11:15 dans débat, santé, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
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- Projet de loi, instituant un droit d'accueil pour les élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques pendant le temps scolaire obligatoire (n°1008) - voir le dossier - suite
- Projet de loi, relatif aux droits et aux devoirs des demandeurs d'emploi (n° 1005) - voir le dossier - suite
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Rédigé à 08:00 dans chômage, débat, enseignement, projet de loi, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le projet de loi réforme le régime du temps de travail des salariés sur les heures supplémentaires, les repos compensateurs et les forfaits (jours et heures). Au-delà, il remet en cause le rôle protecteur de la convention de branche, pour renvoyer les négociations sur le temps de travail au niveau de l'entreprise, niveau le moins favorable aux salariés. Il n'a strictement rien à voir avec les 35 heures, qui servent aujourd'hui de prétexte pour augmenter indéfiniment le temps de travail de tous les salariés.
Il sera désormais possible d'augmenter le contingent annuel d'heures supplémentaires de chaque salarié au-delà de 220 heures (seuil aujourd'hui fixé par la loi), par simple accord d'entreprise représentant 30 % seulement des salariés, sans qu'il soit nécessaire d'obtenir l'accord de l'inspection du travail.
Mais surtout, le repos compensateur obligatoire en cas de dépassement du contingent d'heures supplémentaires va disparaître de la loi. L'accord d'entreprise sera libre de déterminer la contrepartie en repos, qui pourra être dérisoire. Le repos compensateur, institué sous la droite en 1976, qui est une mesure de protection de la santé et de la sécurité des travailleurs, est rayé de la législation française.
- Les forfaits annuels en heures, qui permettent aux employeurs de ne pas payer en heures supplémentaires les heures effectuées au-delà de 35 heures hebdomadaires, ne seront plus réservés aux cadres, mais étendus à tous « les salariés qui disposent d'une autonomie dans l'organisation de leur emploi du temps ». Cette formule vague pourra englober demain des millions de salariés, bien au-delà des seuls cadres.
Concrètement, un simple accord d'entreprise pourra à l'avenir contraindre des salariés, même non-cadres, à travailler jusqu'à 44 heures en moyenne sur 12 semaines consécutives, soit à effectuer 417 heures supplémentaires, sans majoration ni repos compensateur.
- Les forfaits annuels en jours, réservés aux cadres et aux salariés dont la durée du travail ne peut être prédéterminée, ne seront plus limités à 218 jours, mais à 235 jours. Et un simple accord d'entreprise pourra même porter ce nombre à 282 jours de travail sur l'année.
Concrètement, les cadres pourront se voir imposer demain de travailler 282 jours par an, soit tous les jours sauf les 52 dimanches, les cinq semaines de congés payés obligatoires et le 1er mai, avec une moyenne hebdomadaire de 80 heures, le tout sans aucune heure supplémentaire et aucun repos compensateur.
Ces dispositions sont renvoyées à la simple négociation d'entreprise, alors qu'ils relevaient hier, dans des conditions plus strictes, de la loi ou de la convention de branche. Ainsi, ces reculs sociaux vont devenir des outils de compétition entre entreprises, dont les salariés feront les frais. Comment refuser une suppression des repos compensateurs quand on travaille dans une entreprise de moins de dix salariés ? Comment s'opposer à un forfait de 282 jours de travail par an quand la direction menace de délocaliser ou de supprimer des emplois ?
Ce texte institutionnalise la jungle...
Rédigé à 08:11 dans Actualité, santé, temps de travail, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
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Lors de l'examen, cette nuit, du projet de loi sur la réforme du temps de travail, les députés ont adopté un amendement qui porte de 218 à 235 jours le seuil maximal de jours de travail par an pour les cadres.
Après un long débat entre la gauche et la droite, les députés UMP et Nouveau Centre ont voté cet amendement, la gauche a voté contre. En clair, désormais, les cadres devront travailler 17 jours de plus, sauf accord au sein de l'entreprise. Le texte sera voté cet après-midi à l'Assemblée nationale, avant d'être examiné au Sénat le 17 juillet.
Depuis les lois Aubry, les cadres, dont le temps de travail est difficile à comptabiliser, travaillaient au maximum 218 jours par an. Une très grande majorité d'entreprises avaient négocié des forfaits entre 200 et 210 jours. L'amendement adopté cette nuit remet tout en cause, et revient, de fait, sur les RTT des cadres. Le texte qui sera soumis au vote de l'Assemblée cet après-midi prévoit qu'à partir du 219e jour, la rémunération forfaitaire sera majorée d'au moins 10%.
Les réactions ont été immédiates. La CFE-CGC voit dans ces 235 jours un "retour au siècle dernier". La centrale des cadres, qui entend déposer un recours devant la Cour européenne des droits de l'Homme, estime que "cette limite correspond, en fait, à une année pleine (365 jours) de laquelle on retire les jours de congés (25), les samedis (52), les dimanches (52) et le 1er mai".
"C'est une régression sociale massive", a dénoncé Alain Vidalies (PS). "Ce que vous commettez, ce sera pour vous une tunique de Nessus. La trahison, on la traîne longtemps", a renchéri Jean Mallot (PS).La député (Verts) Martine Billard ironise : "La suppression des jours fériés chômés payés, le Medef l'avait rêvée, vous êtes en train de la réaliser. Si l'accord d'entreprise ne le prévoit pas, ils ne seront plus payés."
Ceux qui ont cru aux promesses de dialogues faites par Nicolas Sarkozy pendant la campagne présidentielle doivent être, pour le moins désappointés...
Les autres ne se faisaient pas d'illusions !!!
Rédigé à 12:16 dans temps de travail, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
L'Assemblée nationale a abordé mercredi soir le volet le plus controversé du projet de loi sur la rénovation de la démocratie sociale sur les 35 heures.
AFP
Rédigé à 11:21 dans syndicats, temps de travail, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
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Discussion de plusieurs projets de loi et ouverture de la session extraordinaire
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· Discussion du projet de loi de règlement des comptes et rapport de gestion pour l'année 2007 (nos 917-988) - voir le dossier,
· Deuxième lecture du projet de loi organique, modifié par le Sénat, modifiant l'ordonnance n° 58-1067 du 7 novembre 1958 portant loi organique sur le Conseil constitutionnel et relatif à ses archives (no 896) - voir le dossier,
· Deuxième lecture du projet de loi, modifié par le Sénat, relatif aux archives (no 897) - voir le dossier,
· Discussion du projet de loi portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail (no 969) - voir le dossier - suite
Rédigé à 11:18 dans projet de loi, projet de loi organique, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 08:00 dans Actualité, sur le terrain, à l'Assemblée Nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, Jean-Marc Ayrault, a estimé mercredi, après la réécriture du texte de réforme des institutions par le Sénat, que "chaque jour qui passe nous éloigne du pacte de rénovation de nos institutions".
"Pour l'instant, rien n'a bougé, cela s'est même aggravé", a déclaré M. Ayrault dans les couloirs de l'Assemblée nationale après le vote des sénateurs.
"Le gouvernement et la majorité auront tout fait pour que cela ne marche pas", a-t-il insisté. Car "la majorité UMP a défait ce qui avait été fait à l'Assemblée nationale. Chaque jour qui passe nous éloigne du pacte de rénovation de nos institutions".
"Si cela ne marche pas, ce sera la faute du gouvernement et de la majorité", a-t-il ajouté, répétant que "le PS n'acceptera jamais une réforme a minima".
AFP
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